Ville culturelle et artistique de premier plan, Berlin « l’intrigante » abrite en son sein un artiste électro-pop en passe de devenir une référence du genre : Thomas Azier. Avec son 2ème EP « Hylas 002 » sa musique attire l’attention et rentre en contact avec l’auditeur. L’apport de puissants sons électroniques (beats, synthé) et le mariage entre analogique et numérique viennent  appuyer la mélancolie omniprésente sur « Hylas 002 » . La voix de Thomas Azier reflète avec délicatesse cette  nostalgie qui semble lui coller à la peau, un peu à la manière d’Alphaville dans les années 80 : l’atmosphère est brumeuse, inquiétante mais néanmoins fascinante. Il se pourrait bien que Thomas Azier devienne le nouveau pape de l’électro pop de stade ou de festival.www.thomasazier.com

Elle s'est choisie un surnom qui sent la madeleine et le thé au jasmin, les acacias en fleurs et les élégances surannées des salons de la noblesse d'Empire.
De Proust, Swann n'a pourtant conservé dans ses chansons que les parfums les plus âcres et la précision vénéneuse, ses madeleines à elle ayant plus volontiers goût de banane, celle du premier Velvet découvert parmi d'autres "poisons" dans la discothèque de parents mélomanes, alors qu'elle n'avait pas encore l'âge requis pour s'exposer à de telles irréversibles radiations.
Résultat, à 23 ans elle possède déjà une voix de femme fatale, Nico et Lou Reed à elle seule, patinée des mille et une vies qu'elle n'a pas encore vécues, imprégnée de ce désenchantement gracieux des cowgirls qui ont le blues et de la gravité sensuelle des Patti, Amy ou Cat Power. Surtout, Chloé – son vrai prénom – semble appartenir dès son premier album à ce cénacle ultra fermé des fauteuses de troubles et de grands frissons.www.myspace.com/swannmusic